vendredi 27 décembre 2013

Apocalypse

Ca fout la frousse, mon truc t'étouffe comme le couscous, c'est la grosse secousse dans la brousse, pourvu qu'elle soit douce, et sincère, jamais faux-cul comme le MEDEF, et ceux "born to lose" comme les responsables d'AZF. C'est Moruroa, toxique comme la mort aux rats, tu murmuras, ça te rend doux comme un koala, t'es ze-na, mon truc t'attaque comme un zona, repense à tous ces "zou", dans ta chambres tu zonas. Reste zen. Arrête de t'en foutre dans l'zen, Stup, c'est d'la drogue, va l'écrire dans ton magazine, c'est comme Materazzi et Zinedine : et j'te shoote dans la tête, on voit ton crâne jusqu'aux Philippines. 

Quel charivari, ça balance grave à Paris, 894 membres parfois ça varie, me pompe pas ma façon d'crier, ou c'est l'tribunal, le gang des motards saura rester original. Quelle gabegie, ça se castagne au CIDJ, noire est ma magie mais jamais ça s'est assagi, profil bas, j'suis pas très "peace" ni "Ambalaba", il restera entier, ce mystère au chocolat. Soumets-toi, rencard à 4h sur le toit, amène tes arguments, j'amènerai mon nunchaka, ma colère gronde, j'te ferai cuire au micro-onde, j'irai pisser sur ta tombe ce s'ra immonde, comme la fin du monde. 

Nik, nak, padiwak, c'est Rascar Capac, ma technique te snacke, mon meilleur pote c'est mon mac, mec, j'aime mon hamac mais ma technique te nique, j'suis trop esthétique quand j'ai bu 2 Gin Tonic. Pas qu'en toc, que le grand cric me croque. Blah blah blah, fuck le rock et l'baroque. Dans peu d'temps, je serai la coqueluche [Y'a trop d'cons qui lèchent] rien qu'pour me serrer la paluche. Ma stup-zik fout des hématomes. Et y'a pas d'mal, vu l'état d'la zik dans l'hexagone, ça fait "poum poum tchack" mon truc te déstresse la nuque mec. Accroche toi aux rideaux, quand je déboule ça fout la frousse. 

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